17 Janvier 2010
Ce dimanche, Harry Roselmack présente un nouveau numéro
de « Sept à Huit », dès 18:50 sur TF1. Sommaire
:
Haiti : Le Chaos Une minute d'un séisme classé 7 sur l'échelle de Richter, suivi d'une série de répliques. C'était mardi soir à Haïti. Un pays
que rien ne semble épargner : ni les guerres civiles, ni les catastrophes naturelles. Un reportage d' Arnaud Muller et Fabrice Babin dans les décombres de la
catastrophe.
Un clocher pour deux Un évêque hué, sifflé. Un prêtre empêché de conduire sa messe. Cela se passe en France, dans une paroisse rurale de
Normandie. A Thiberville, des centaines de villageois se mobilisent contre la décision de l'évêque d'Evreux de leur imposer un nouveau prêtre. Eux veulent garder le père Michel, celui qui dit
leur messe depuis 23 ans. L'abbé Francis Michel, un curé à l'ancienne, en soutane, très proche de ses ouailles, réussissant la performance de remplir ses Eglises chaque dimanche. Mais désormais,
les curés manquent, et l'évêché restructure : les prêtres doivent accepter des paroisses plus étendues, Francis Michel doit partir. Un reportage de Christophe Widemann et Didier
Barral.
L'or russe Courchevel, la très chic station de ski savoyarde, se met en quatre pour satisfaire ses clients les plus riches et les plus
exubérants : les Russes. Champions de l'excès et clients exigeants, ils veulent le meilleur : champagne en bas des pistes, chefs étoilés, suite d'hôtel la plus chère du monde... De
Bernadette, la monitrice de ski qui prend des cours du soir pour apprendre le russe, aux soirées exclusives organisées en altitude pour célébrer le Noël orthodoxe, toute la station se mobilise.
Aux côtés de Macha, l'actrice, ou de Pacha, le chef d'entreprise devenu richissime en vendant des masques contre la grippe A, Joël Bruandet, Ioulia Kapoustina et David Geoffrion nous dressent le
portrait d'une station qui déploie les grands moyens pour que les Russes s'y amusent et dépensent sans compter.
Descente aux enfers Il lui fallait un litre de whisky par jour, du vin rouge au réveil, des médicaments à haute dose et 4 grammes de cocaïne, selon
lui, indispensables pour tenir. L'écrivain Nicolas Rey a connu le " grand alcoolisme " et la poly-toxicomanie, une sorte d'overdose au quotidien. A 36 ans, le " dandy
décadent " a fini par se soigner, il en est aujourd'hui à deux ans d'abstinence, mais le travail de sevrage continue et continuera toujours. Sans retenue ni tabou, Nicolas Rey raconte cette
période d'autodestruction dans le portrait de la semaine de Thierry Demaizière.
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