Site web d’actualités / Médias
26 Janvier 2013
La rédaction de TF1 propose ce samedi à 13h25 sur TF1 le magazine Reportages, présentée par Claire Chazal. Sommaire
13h25 - Quelles drôles de maisons ! Un reportage de Sandrine Mary. Montage Hélène Blanpain et Christophe Delestre
Une maison ronde comme la lune posée sur une colline, un fort militaire caché dans une forêt et un sémaphore au bord d'une falaise... Marc dans sa maison bulle qui "lui colle à la peau", Jean-Charles dans son fort "dont il est raide dingue" et Pierre dans son sémaphore vivent très heureux dans leurs drôles de maisons.
En s'installant dans les monts du Forez, Marc, vétérinaire, n'imaginait pas qu'il vivrait un jour dans une
maison bulle. Aujourd'hui, il la partage avec sa nouvelle compagne Sylvie et leurs 4 enfants, et même s'ils sont à l'étroit, pour rien au monde Marc n'en changerait. "Lorsque je suis arrivé
dans la région et que? par hasard? j'ai vu une maison bulle, je ne pensais même pas que je pourrais moi aussi en avoir une, j'ai tapé à la porte et j'ai rencontré Antonio".
Antonio est sculpteur et accepte de lui construire une maison bulle. Il faudra 18 mois de négociation pour obtenir le permis de construire et encore 3 ans pour que la bulle sorte de terre.
Cette famille recomposée se sent un peu à l'étroit dans sa maison et elle a décidé de construire une extension. Antonio demande à Victoria, la fille de Sylvie de l'aider à imaginer ce que
sera sa bulle à elle.
14h05 - Parents ados... la crise de nerfs
? Un reportage de Sylvianne Schmitt et Violaine Molinaro
Pas facile d'élever un adolescent. Inquiétude, stress, les parents veulent souvent le meilleur et la relation peut tourner au dialogue de
sourds. Pour le sauver de l'échec scolaire, Véronique a dû mettre son fils en pension. Aujourd'hui, elle cherche une solution pour apaiser leur relation. Valérie et Lotfi affrontent
chaque jour l'adolescence... mais en trois exemplaires avec leurs triplées de 15 ans.
Chacun sa méthode... parfois ça casse, mais souvent ça passe.... Avec le temps, de la patience et de l'amour. Un samedi après-midi, Grégory 14 ans révise avec sa mère Véronique... A quelques
jours du brevet des collèges, son apparente désinvolture désespère sa mère.... Surtout quand les jeux vidéo passent avant les cours. "Ca me fait mal parce que je me demande où on va.
Est-ce qu'il s'en fout ?". Seule pour élever Grégory et ses frères de 10 et 16 ans, Véronique essaye d'être partout à la fois. Mais c'est Gregory qui lui donne le plus de mal " je ne me
battrais pas contre lui si je ne pensais pas qu'il a les moyens de réussir.
14h35 - L'Amour
condamné Un reportage d'Aurore Belser
Militantes, amies ou amoureuses d'un condamné à mort, elles sont une centaine de femmes chaque année à traverser l'Atlantique pour rendre visite aux détenus de la Polunsky Unit, le couloir de la mort du Texas. Tout commence par quelques lettres puis des liens d'amitié ou d'amour se tissent. Amitié, confidences, amour et même mariage... Une équipe de Reportages a suivi le parcours de 3 femmes qui se sont lancées dans ces histoires d'amour sans lendemain.
"Tu vas probablement recevoir cette lettre le jour de mon exécution ou peut-être suis-je déjà mort..." Stéphanie, une Française de 37 ans, lit avec émotion la lettre d'adieu de Michael Perry, condamné à mort, exécuté le 1er juillet 2010, à l'âge de 28 ans. "Perdre Michael, c'était comme perdre quelqu'un de ma famille". La Française et le prisonnier n'ont correspondu que trois mois, sans même se rencontrer. Mais une grande amitié est née. Bouleversée après la diffusion d'un reportage sur la peine de mort, Stéphanie effectue des recherches sur internet. Elle découvre le site du comité de soutien de Michael Perry, un jeune Texan, condamné à mort pour un triple meurtre qu'il a toujours nié. Il ne lui reste alors que trois mois à vivre. La Française décide d'écrire au prisonnier. Du fond de sa cellule, Michael Perry devient un confident, un ami. Stéphanie connaissait l'issue de cette aventure humaine, mais l'exécution de son ami du couloir de la mort est toujours aussi douloureuse à évoquer.
Elles sont une centaine de femmes européennes à traverser chaque année l'Atlantique pour rencontrer leur ami condamné à mort. Une communauté qui se retrouve à Livingston. Une petite ville de 5000 habitants où les soirées sont longues pour une Fançaise venue seule.
Suivez l'actualité médias avec newstele sur twitter et Facebook
Crédit Photo : TF1