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« Reportages », sommaire du samedi 25 janvier 2014

Reportages claire chazal tf1La rédaction de TF1 propose ce samedi à 13h25 le magazine Reportages, présentée par Claire Chazal. Sommaire

 

13h25 - L'école est finie... premiers pas Un reportage de Myriam Bel Yazid, Mass Mahmoudi, Mathieu Huou, François Gagnant et Pierre-Olivier Bonasse.
Enfants, ils se voyaient déjà : avocate, sage-femme, professeur des écoles ou officier de gendarmerie. Chacun a suivi sa voie et travaillé dur pour réaliser son rêve. Pendant six mois, nous avons accompagné Clémence, Nicolas, Charlotte et Gratiane, de leurs derniers jours à "l'école" à leurs tout premiers pas...


Après son master de droit, Charlotte, 27 ans intègre l'école des Officiers de gendarmerie de Melun. Au programme : législation, gestion des ressources humaines et bien entendu : tir et techniques d'intervention. Avant d'obtenir son diplôme, Charlotte effectue un mois de stage en gendarmerie pour valider ses compétences de chef de brigade. " J'ai hâte d'être sur le terrain, j'ai choisi cette carrière parce que tous les jours on doit s'adapter. C'est un métier d'action et c'est ça qui me plaît "Elle rêvait d'un poste proche de celui de son compagnon, son classement lui permet de choisir Mussidan en Dordogne. Elle va enfin se retrouver sur le terrain à la tête d'une brigade de 30 hommes.
 
"D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être enseignant. J'ai ça en moi". Dans quelques jours, Nicolas, 26 ans, passe son concours de professeur des écoles et "ce qui est vraiment difficile à vivre en ce moment, c'est l'attente. C'est être constamment à se poser des questions, à se dire : est-ce que j'ai suffisamment révisé ? C'est lourd et on a juste une envie, c'est que ce soit fini, que ce soit passé et qu'on puisse passer à autre chose". S'il rate ses examens, il devra attendre un an pour se représenter.
 
"J'ai grandi avec les histoires de mon grand-père dans la tête, c'est lui qui m'a donné envie de défendre les autres". Quand elle n'est pas en cours, Gratiane, 27 ans, fait son stage dans un grand cabinet d'avocats parisien, où elle aimerait bien être engagée. Elle pourrait ainsi valider son diplôme, prêter serment et porter la robe... devenir enfin avocate, comme son grand-père... "Ils ne m'ont pas non plus dit non donc j'ai encore un peu d'espoir, on ne sait jamais !" 
 
Clémence, 24 ans, ses examens terminés, part pour trois semaines en stage à la maternité de Ouagadougou, au Burkina Faso. Elle qui rêve d'humanitaire va découvrir les conditions souvent difficiles et précaires de son futur métier. Asseta, une jeune fille de 20 ans, est sa première patiente et sa première émotion de sage-femme "c'est le premier bébé d'Asseta et c'est mon premier ici. Si c'est tous les jours comme ça, cela va être bien. Déjà là, c'était riche en expérience et en émotion. C'était impressionnant !". Prochaines étapes : son diplôme et ses premiers pas de sage-femme titulaire.

 

14h35 - Je cuisine donc je suis Un reportage de Danièle Costantini, Pierre Ghiazza, J-Luc Pedrotti, Patrick Haouzi (LCMA Reportages)
Je cuisine donc je suis.... A chacun sa méthode. Cours express pour gourmets pressés ou cours traditionnels comme avec Renée, 73 ans, qui reçoit ses élèves dans sa cuisine et leur transmet les secrets culinaires hérités de sa mère. Stéphanie dévore le cahier de recettes de sa grand-mère et apprend auprès d'une belle-mère cordon bleu l'art de la ratatouille confite et des alouettes sans tête. Jean-Philippe a hérité son goût pour la cuisine de son grand-père. La cuisine se conjugue au masculin comme au féminin...  juste une affaire de gourmandise et de plaisir.
 
10 heures du matin, à Nice, Renée 73 ans et professeur de droit à la retraite, partage ses recettes familiales avec des élèves gourmands. Quelques heures avant de les recevoir, Renée est passée au marché du vieux Nice acheter les meilleurs produits locaux : huile d'olive, légumes frais, sardines.... "Leçon du jour" : des sardines farcies et cuites au four, des beignets de fleurs de courgettes. L'eau à la bouche et le crayon à la main, les élèves prennent des notes "elles se perdent ces recettes. Il faut les écrire. Maman elle jouait à l'instinct. On ne savait pas qu'il y avait 250 grammes de farine. C'était fait au toucher, au pif !". Avec regret ses élèves reconnaissent qu'elles n'étaient pas "faites pour faire la cuisine. On se préparait à travailler. Apprendre à cuisiner ce n'est pas seulement prendre un cours comme aujourd'hui, c'est être dans la cuisine et entendre la cuisson, le bruit, est-ce que c'est cuit... sentir, toucher"...  et retrouver l'héritage culinaire familial.

 

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Crédit Photo : TF1

 

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