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1 Juin 2013
La rédaction de TF1 propose ce samedi à 13h25 sur TF1 le magazine Reportages, présentée par Claire Chazal. Sommaire
13h25 - Une vie de famille à
mi-temps Un reportage de Tony Liégeois (STP Productions)
Chaque semaine, des femmes et des hommes, des pères et des mères "abandonnent le domicile conjugal" pour travailler à plusieurs centaines de kilomètres de chez eux. Ces "intermittents du foyer"
représenteraient 10% de la population active. Céline et Nicolas, Frédéric et Karine..... Quand maman part toute la semaine, comment s'organise la vie de famille à distance et à
mi-temps ?
Quatre jours par semaine, Frédéric se retrouve seul avec Sébastien et Nicolas pendant que Karine, sa femme, mécanicienne dans l'armée de l'air travaille à 600 kilomètres de
chez eux. C'est lui seul qui s'occupe de leurs deux enfants en bas âge. Entre les repas, les sorties et la douche, le papa n'a pas une minute à lui. "Le fait de se retrouver tous les trois c'est sûr qu' il manque quand même ma femme là au tableau et si elle pouvait réussir à obtenir une mutation dans la région c'est sûr qu'on
pourrait prendre notre mercredi ensemble et pouvoir profiter pleinement de nos enfants aussi bien elle que moi. Il faut croiser les doigts".
La vie d'Arnaud, VRP, est un véritable casse-tête géographique. Il habite à Angers, sa compagne termine ses études à Saint-Brieuc et son fils vit à Nancy dans l'est de
la France. Ce trentenaire est en permanence tiraillé entre sa vie amoureuse, sa vie familiale et son boulot. "C'est vrai que je suis tout le temps la
tête dans le calendrier pour à la fois profiter de mon fils parce que, bon, avec cette distance on loupe déjà beaucoup de choses et puis aussi essayer d'entretenir une vie de couple je dirais
normale ce qui n'est pas toujours le cas et ce qui est loin d'être le cas. Ca peut parfois créer des tensions, je ne vous le cache pas".
Chaque semaine, Céline elle, "quitte" mari et enfants pour ses vignes champenoises. Son objectif : reprendre l'entreprise familiale de champagne à Reims tout en gardant un
oeil sur ses proches restés dans le sud de la France. "En étant seule, sans contraintes, j'en profite pour faire du sport, déjà ça permet de se
vider la tête et puis d'arriver plutôt épanouie à la maison pour retrouver ses enfants et son mari pour continuer à essayer de le séduire et de lui plaire".
14h10 - Madame est servie Un reportage de Chloé Lecomte, Jean-Marc Philibert
& Bénédicte Delfaut.
Comment avoir le train de vie d'un milliardaire sans être à la tête d'une fortune personnelle... en acceptant de devenir majordome. Un métier dont les maîtres mots sont : dévouement, abnégation
et discrétion absolue. Quels sont les talents indispensables pour devenir " l'ombre " de Madame ? Pour le savoir, nous avons suivi en coulisses Rodolphe, Sonia, Julien
et Viktoria... Avec eux, ce métier ancestral retrouve ses lettres de noblesse.
Rodolphe a 39 ans et une carrière en dents de scie derrière lui. Ancien stewart, ancien professeur de français en Asie, ce touche-à-tout a choisi de changer
encore de direction. Devenir majordome... Il faut dire qu'il a choisi l'une des formations les plus intenses qui soient : l'académie internationale des majordomes, dont le redoutable
directeur M. Wennekes, a fait la réputation. Deux mois de stage intensif attendent Rodolphe, aux côtés d'étudiants venus du monde entier. Dans un château en Hollande, il va apprendre tous les
secrets de ce métier de tradition britannique. Service en gants blancs, organisation de réceptions, tenue de la maison,... Rodolphe se jette dans le bain avec passion. Mais son côté un peu
râleur, un peu français, va lui jouer des tours !
14h40 - Flics et
champions Un reportage de Delphine de Turckheim, Juliette Bot, Olivier Smittarello, Nicolas Makowski (Editel)
Quand ils ne sont pas en uniforme, Ludivine, Stéphane et Franck, gardiens de la paix au sein de la police nationale, sont les rois des podiums. Ludivine est double championne du monde d'enduro
(moto), Franck, champion olympique au tir au pistolet et Stéphane a été double champion du monde en savate boxe française.
Chaque année, une trentaine de policiers est détachée par sa hiérarchie "au nom du sport". Entre compétitions et entraînements à haut niveau, ils ne portent leur uniforme de
gardien de la paix que 45 jours par an. Stéphane Doya a été un de ceux-là. En 2010, un accident l'oblige à quitter les rings "C'est dur d'arrêter du jour au lendemain quand vous êtes en compétition à haut niveau, vous y pensez tout le temps". Quand
Stéphane reprend du service à Tarbes, il choisit l'équipe de nuit de la Brigade anti-criminalité. Travailler la nuit pour pouvoir s'entrainer le jour et enseigner à des adultes et à
des enfants des cités, "pour accrocher les jeunes avec le sport".
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Crédit Photo : TF1